Quel dilemme chez Téo Jasmin ! Les nouveaux friends de Téo sont arrivés et on ne sait lequel choisir tellement ils sont cromignons ! C’est un truc de wouf !
Tout d'abord Téo InuitLorsque Téo Inuit rencontre les milieux les plus hostiles, c’est la parfaite alchimie.Car le froid est le meilleur ami du bouledogue. Raquettes aux papattes, il brave les tempêtes de neige et les avalanches de poudreuse pour rejoindre ses copains esquimaux, répartis dans les quatre coins des pays polaires. Ensemble, ils aiment à construire de Wouf igloos glacés où tous les peuples autochtones se rassemblent pour croquer de succulents poissons grillés. Quelle fraîcheur de vivre ! Quelle simplicité à la fois ! Téo Inuit voyage au gré de son bon vouloir, tel un nomade pour assouvir ses envies de liberté. Cette vie de bohème s’apparente aussi à celle d’un aventurier : chasser au jour le jour, bâtir des cocons glacés éphémères, allumer un feu de bois n’est pas donné par nature à tout le monde. Un bon apprentissage et une incroyable force mentale sont les clés de sa survie (et quelques croquettes sous le coude, bien entendu).
Mais voilà aussi Téo Charleston
Quand Téo le bouledogue enfile son costume de Charleston, il refait irrémédiablement un bon de quelques décennies en arrière. Ah les années folles ! La belle époque où tout était effervescence de joie et de bulles de champagne. Un tourbillon d’extravagance qui plait tant à Téo Charleston qui n’a d’yeux que pour les cabarets, le jazz et les comédies musicales. Ce monde utopique, bercé d’illusions pailletées et de plumes par milliers, résonne comme un appel à la décadence et à l’oubli. Quand les petits tracas de la vie quotidienne submergent le positivisme de Téo Charleston, une seule solution est de recours : faire la fête, danser d’un pas effréné, rire aux éclats et réitérer le tout au lendemain ! Un cocktail explosif que Téo Charleston ne délaisserait pour rien au monde.
Tout d'abord Téo Inuit Lorsque Téo Inuit rencontre les milieux les plus hostiles, c’est la parfaite alchimie.Car le froid est le meilleur ami du bouledogue. Raquettes aux papattes, il brave les tempêtes de neige et les avalanches de poudreuse pour rejoindre ses copains esquimaux, répartis dans les quatre coins des pays polaires. Ensemble, ils aiment à construire de Wouf igloos glacés où tous les peuples autochtones se rassemblent pour croquer de succulents poissons grillés. Quelle fraîcheur de vivre ! Quelle simplicité à la fois ! Téo Inuit voyage au gré de son bon vouloir, tel un nomade pour assouvir ses envies de liberté. Cette vie de bohème s’apparente aussi à celle d’un aventurier : chasser au jour le jour, bâtir des cocons glacés éphémères, allumer un feu de bois n’est pas donné par nature à tout le monde. Un bon apprentissage et une incroyable force mentale sont les clés de sa survie (et quelques croquettes sous le coude, bien entendu).
Quand Téo le bouledogue enfile son costume de Charleston, il refait irrémédiablement un bon de quelques décennies en arrière. Ah les années folles ! La belle époque où tout était effervescence de joie et de bulles de champagne. Un tourbillon d’extravagance qui plait tant à Téo Charleston qui n’a d’yeux que pour les cabarets, le jazz et les comédies musicales. Ce monde utopique, bercé d’illusions pailletées et de plumes par milliers, résonne comme un appel à la décadence et à l’oubli. Quand les petits tracas de la vie quotidienne submergent le positivisme de Téo Charleston, une seule solution est de recours : faire la fête, danser d’un pas effréné, rire aux éclats et réitérer le tout au lendemain ! Un cocktail explosif que Téo Charleston ne délaisserait pour rien au monde.
